Author Archives: Magalie

Pour s’adapter à un monde qui est en évolution permanente, les entreprises procèdent régulièrement à une transformation organisationnelle. Cette dernière permet entre autres de répondre aux différents enjeux internes et externes. Néanmoins, le changement ne se fait pas toujours sans difficultés. C’est pourquoi il convient de prendre certaines dispositions pour la réussite de la transition. Pour cela, la transformation organisationnelle devra se faire en suivant les étapes que nous allons montrer dans cet article.

L’implication de tous les collaborateurs

Pour une transformation organisationnelle réussie, il est nécessaire que les différents collaborateurs soient impliqués dans le projet. Cela revient dans un premier temps à bien communiquer sur le projet de sorte que tous les acteurs s’imprègnent des tenants et des aboutissants de la transformation envisagée. Cette étape est cruciale et exige des compétences. Pour la réaliser, faites appel à ce cabinet spécialiste de la transformation organisationnelle. Après avoir communiqué sur le projet, la seconde étape consistera à considérer les positions des uns et des autres. Cela revient à échanger avec les collaborateurs afin de relever leurs besoins et connaitre leurs attentes. Ensuite sur la base des informations recueillies, il sera question de construire une vision autour de laquelle tous les acteurs pourront fédérer.

L’analyse des résultats obtenus

Après la construction du projet de transformation organisationnelle et la mise en place de celui-ci, la dernière phase sera celle de l’analyse des apports de cette transformation. Cette analyse passe d’abord par une adaptation des outils et méthodes aux enjeux du moment. Pour ce faire, l’idéal serait par exemple d’opter pour des outils collaboratifs, c’est-à-dire ceux favorisant le travail en équipe. Dans la vie pratique, cela va se concrétiser par l’adoption des techniques de travail innovantes. Enfin, la dernière étape de la transformation organisationnelle va être la valorisation des résultats. Ce n’est qu’en montrant aux différents acteurs les bénéfices des changements apportés par ladite transformation qu’ils seront davantage motivés et s’impliqueront encore plus.

L’habit ne fait pas le moine apparemment. Certes, mais il y contribue grandement. Il en va de même pour les entreprises. Une adresse professionnelle prestigieuse, une réunion dans un quartier chic de Paris, ou un espace de coworking dans un lieu agréable est un excellent facteur de motivation. De plus, cela va influencer favorablement un prospect ou un client.

Une adresse professionnelle, un message pour les partenaires

Dans le monde des affaires, une adresse luxueuse va contribuer à asseoir une réputation. Le 16ème arrondissement de Paris est connu pour héberger maintes ambassades et de nombreux sièges de sociétés à la réputation internationale. Une domiciliation d’entreprise à Paris sera idéalement dans le 16ème arrondissement. Cette seule adresse sur un papier à en-tête va positivement influencer clients et partenaires qui vont être amenés à considérer cette adresse comme un gage de sérieux. Or, la première impression est déterminante et on n’a jamais l’occasion de faire deux fois une première bonne impression.

Un lieu de travail agréable et moderne au cœur des quartiers chics

Le fait de combiner une domiciliation et la possibilité d’accéder à des espaces de réception ou de coworking au même endroit permet de confirmer l’implantation de la structure dans le quartier et de conforter le partenaire dans son avis déjà positif. De l’autre côté, des locaux qui ne sont pas à la hauteur de l’adresse peuvent ruiner une entrevue. Il n’y a en général pas d’effet plus désastreux sur un prospect ou un client que d’avoir une domiciliation dans un lieu chic et un espace de travail ou de réception dans un endroit plus commun. Une disparité entre l’adresse théorique et le lieu de réception réel peut amener le partenaire ou le prospect à se poser des questions sur le sérieux de la structure avec laquelle il envisage de collaborer voire éveiller de la défiance de sa part.

Le développement des moyens de transport et de communication a fini de propulser le monde dans une nouvelle ère. Celle-ci se caractérise par l’amélioration et la facilitation des conditions de voyages. De nombreux secteurs d’activité ont ainsi pu profiter de cet essor pour se développer. Le tourisme en est l’illustration la plus aboutie. En quelques années le secteur touristique s’est hissé au rang des plus grands pourvoyeurs d’emplois et de devises étrangères. Dans cet article nous vous présenterons les nombreuses opportunités qu’offre ce métier.

Voyager à l’étranger 

Faire des études en tourisme présente l’avantage de vous permettre d’effectuer des voyages à travers le monde. Ceci fait partie intégrante de la formation. En effet, qui dit tourisme dit expérience et faire des visites à l’étranger permet non seulement de s’imprégner de la culture du pays en question mais aussi d’en connaitre l’histoire. L’étudiant n’a plus besoin d’un manuel d’histoire-géographie pour approfondir ses connaissances, car voyager c’est apprendre par l’expérience. Pour se former au tourisme, visitez le site https://www.es-vichy.com/. 

La maîtrise d’autres langues

Lorsqu’on veut se former aux métiers du tourisme, l’acquisition de nouvelles langues devient une obligation. Cela permet de s’ouvrir au reste du monde avec notamment la maîtrise de l’anglais qui est la langue des affaires. Ceci est plus vrai encore pour les étudiants désireux d’être des guides touristiques. Ce métier requiert d’avoir un répertoire linguistique varié pour pouvoir échanger avec les touristiques. C’est d’ailleurs, la raison pour laquelle certaines écoles de tourisme proposent à leurs élèves de partir en voyage à l’étranger pour avoir une fluidité au niveau de l’expression orale.

Trouver facilement un emploi

Le tourisme est considéré comme un des principaux secteurs pourvoyeurs d’emploi au monde. Cela tient au fait de la formation professionnalisante suivie par les étudiants. Elle leur permet d’être opérationnels dès la fin de leur cursus. Ils n’auront donc pas besoin de formation intermédiaire pour s’intégrer au monde de l’emploi.